Votre navigateur n'est pas assez récent pour une utilisation optimale du site, vous pouvez le mettre à jour en suivant le lien suivant : browsehappy.com
En continuant à naviguer sur notre site, vous acceptez l'utilisation de cookies

Témoignages

Témoignage de Maxime Leroux, élève-officier à l’Ecole de l’Air (Janvier 2019) - Ancien étudiant de la filière MP/MPSI

Dès mes premières années de collège, j’ai su quelle voie je voulais suivre : intégrer la prestigieuse École de l’Air de Salon-de-Provence. Ainsi, le cursus de CPGE s’est naturellement imposé à moi.

En m’engageant dans ce cursus, je pensais trouver tous les clichés auxquels nous sommes habitués lorsqu’il est question des classes prépa : le travail permanent, sans repos possible ; des professeurs exigeants et distants ; une ambiance rendue lourde par les khôlles et la compétition.

Le seul point sur lequel j’ai eu raison, c’est l’exigence. En revanche, l’ambiance, studieuse, mais détendue parfois grâce aux nombreuses facéties de certains de mes camarades, était clairement tournée vers l’entraide.

Les enseignants ont été présents tout au long de ces deux ans : compréhensifs, nous donnant à chacun les moyens de se dépasser intellectuellement. À l’approche des concours, les devoirs et les khôlles s’adaptaient aux élèves, permettant à ceux qui le voulaient de viser très haut.

A certains, admissibles sur le concours Centrale-Supélec, notre professeur de physique a donné des cours et TP supplémentaires pour se préparer à la spécificité des épreuves orales de cette banque de concours.

Vous hésitez  à vous lancer dans un cursus de préparationnaire par peur du travail ou du fait de devoir affronter des concours … Je pense que c’est une erreur, car la sélection arrivera tôt ou tard, le travail aussi.

D’autre part, beaucoup de mes camarades sont venus en prépa parce qu’ils ne savaient pas quoi faire, or ils ont trouvé leur voie après leurs deux (ou trois pour les plus chanceux) années de classes préparatoires.

J’ai vécu deux années splendides, clairement meilleures que mes années de lycée. Elles m’ont permis d’intégrer l’école de mes rêves. Je ne peux que vous encourager à suivre ce cursus d’excellence à Sainte Marie Grand Lebrun pour réaliser les vôtres.


Témoignage de Thomas Esterlin, étudiant à l’ENSIMAG (Janvier 2019) - Ancien étudiant de la filière MP/MPSI

« La rigueur vient toujours à bout de l’obstacle ». Léonard de Vinci

Natif de Bordeaux, j’avais effectué une grande partie de ma scolarité à Grand Lebrun (collège et lycée). En Terminale, je ne savais pas exactement où je souhaitais aller l’année suivante, mais je voulais quand même poursuivre des études en lien avec les mathématiques, une matière qui me plaisait et dans laquelle j’obtenais de bons résultats.

J’ai donc candidaté pour les CPGE en filière MPSI, et PCSI, mais j’ai été directement refusé dans les lycées prestigieux. Cela a été une réelle déception pour moi, car je pensais avoir le dossier et surtout les capacités pour y rentrer. Cependant, Grand Lebrun m’a donné la chance d’intégrer la jeune classe MPSI, et je lui serai toujours très reconnaissant de cela.

Les deux années sont passées extrêmement vite, rythmées par beaucoup de travail mais aussi par une superbe ambiance. En effet, nous étions une classe très soudée, et l’esprit de compétition n’était pas aussi présent que ce que l’on m’avait annoncé.

Finalement, après les concours, j’ai intégré l’ENSIMAG à Grenoble, une école de mathématiques et d’informatique qui me plaît beaucoup.

Fort de cette expérience, je conseillerais à tout élève qui souhaite faire une MPSI de ne pas sous-estimer une jeune classe prépa comme celle de Grand Lebrun, mais plutôt d’en regarder les multiples avantages …

 


Témoignage d’Armel Fernandez, étudiant à l’ESCP (décembre 2017) - Ancien étudiant de la filière ECS

« La conviction est la volonté humaine arrivée à sa plus grande puissance »  H. de Balzac, Le Curé de village

Le lundi 31 août 2015, jour de rentrée pour les étudiants en Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles nous fûmes, mes camarades et moi, accueillis par les mots combatifs de celle qui allait être notre professeure de mathématiques en première année : « Pendant ces deux ans, il va vous falloir travailler avec méthode, rigueur, sérieux et détermination, ce sera parfois très difficile, mais en maintenant un rythme de travail constant et soutenu, la réussite vous attendra au bout du chemin ». S’il est vrai que les mathématiques furent indéniablement mon pire ennemi ces deux dernières années, je dois avouer que ce jour-là, j’adhérai pleinement au discours de Mme. San José.

Si j’ai choisi l’institution Sainte Marie Grand Lebrun, c’est parce que j’avais la conviction qu’elle me permettrait d’intégrer une école de haut rang, tout comme elle avait jadis permis à mon père d’être surveillant de vie scolaire pour financer ses études et à mon frère d’intégrer Audencia Business School, sixième école de Commerce en France. Aujourd’hui, j’ai intégré l’Ecole Supérieure de Commerce de Paris – l’E.S.C.P. – la plus ancienne des business schools, figurant sur le podium mondial des écoles de management, et je ne regrette évidemment pas ce choix.

J’ai passé deux années on ne peut plus stimulantes intellectuellement, grâce à une équipe pédagogique, véritable soubassement de notre réussite au concours, dont l’implication et la proximité avec les élèves n’ont, objectivement, aucun équivalent. J’en veux pour preuve la préparation sur-mesure aux oraux de l’E.S.C.P. que m’a concoctée M. Berthommé, les innombrables heures de soutien de mathématiques que m’a accordées Mme. San José, les après-midi de perfectionnement linguistique avec Mme. Bérillon, M. Cormier, Mme. Derudder et Mme. Gonçalves, les polycopiés d’économie faits à la demande des élèves par M. Morin, l’enrichissement culturel prodigué par Mme. Brossier, M. Wolfhugel, Mme. Mizandeau et M. Corgnet (footballeur dans l’âme !), l’altruiste générosité de Mme Buzat, toujours là pour nous, ainsi que, last but not least, le dévouement incroyable de notre Directeur des Etudes et professeur de géopolitique, M. Gachet, prêt à tout pour la réussite et l’épanouissement de ses étudiants ; l’A.D.N. de cette classe préparatoire.

Mais au-delà de l’excellence académique, l’autre spécificité de la C.P.G.E. de Grand Lebrun réside dans sa dimension humaine. Certes, ces deux années furent synonymes de travail. Mais elles se sont déroulées dans une convivialité exceptionnelle, dans un climat d’entraide qu’on ne retrouve, à ce point, nulle part ailleurs ; et elles m’ont permis de vivre des moments chargés d’émotion que je n’oublierai jamais : les soirées footballistiques avec Mathilde, Guillaume, Baptiste, Thibaut et Théo, les humiliations que j’ai subies au basketball avec Daniel et Guillaume,  notre victoire au concours de géopolitique organisé par l’Ecole de Management de Grenoble avec Nawal, les discussions sentimentales avec Marianne, Yannis, Alma, Victor ou Lucas, le dîner à la Maison de Marie avec Naëlle, et toutes les folies que nous fîmes avec Tomas ne s’effaceront jamais de ma mémoire.

Joseph Joubert écrivait que « le plus beau des courages est celui d’être heureux ». Dès lors, je ne peux que recommander vivement à toutes celles et ceux qui sont animés d’envies de réussite et de bonheur, d’être courageux et, en vertu de ce qui précède, de rejoindre les Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles de Sainte Marie Grand Lebrun.


Témoignage de François Ledamoisel, étudiant à l’ESSEC (décembre 2016) - - Ancien étudiant de la filière ECE

Originaire du Périgord, j’ai achevé ma scolarité, en première et en terminale ES, à Grand Lebrun.

À l’époque, je ne savais pas trop quoi faire après le baccalauréat. J’étais un peu perdu ; je ne parvenais pas à faire un choix ; j’avais peur de faire des erreurs. L’échéance approchant, j’ai demandé conseil à mon professeur d’économie. À mon questionnement, sans hésitation, elle a répondu : « Fais une classe prépa. Tu as le profil ». Je lui ai fait confiance, ainsi qu’à Grand Lebrun et j’ai intégré la classe préparatoire, voie ECE. J’ai découvert un monde de travail et d’entraide. J’ai rencontré des professeurs soucieux de nous faire progresser. Une des spécificités de Grand Lebrun est d’accueillir des élèves différents. Si nous n’avons pas tous vocation à intégrer une école du top 3 ou 5, il n’y a pas de différence de traitement entre celui qui aspire à intégrer Kedge et celui qui ambitionne HEC, pourvu qu’il s’engage totalement dans son projet. En outre, entre nous, l’entraide a été la règle : les plus forts ont aidé ceux qui rencontraient des difficultés. en ce qui me concerne, si j’étais le major de la classe, je n’étais pas pour autant le meilleur, il y avait toujours plus fort que moi dans l’une ou l’autre matière ; même ceux qui avaient de moins bonnes notes savaient des choses que moi j’ignorais. Nous avons donc pu nous entraider, comme les membres d’une famille auraient pu le faire. Enfin, en « prépa » le travail paie. Je me rappelle avoir passé des journées, des week-ends entiers à la B.U. avec des amis. Aujourd’hui, je suis fier d’avoir intégré l’ESSEC, une École prestigieuse qui rivalise avec HEC.

Monsieur Alain Juppé a pu affirmer qu’il existe une France qui réussit. Les classes préparatoires fabriquent cette France ; elles forment des hommes et des femmes, travailleurs, sérieux, organisés, déterminés à réussir et ouverts sur le monde. Je veux remercier encore Grand Lebrun, le directeur des études, l’ensemble du corps professoral mais aussi tous mes camarades ; sans eux ma réussite n’aurait pas été possible.